Per­for­meuse nor­vé­gienne ins­tal­lée à Bruxelles où elle se pro­duit régu­liè­re­ment, mais encore peu connue en France, Mette Edvard­sen s’installe en stu­dio au CCN auquel elle est asso­ciée jusqu’en 2021.
L’ouverture de son stu­dio offri­ra au public l’occasion d’avoir un aper­çu de son tra­vail et de sa singularité.
Enga­gée dans une démarche autant sen­sible que concep­tuelle, elle ouvre sa recherche artis­tique à d’autres champs comme les arts visuels, la lit­té­ra­ture et s’intéresse au mou­ve­ment de l’espace, de la lumière ou de la musique de son point de vue de chorégraphe.

L’une de ses créa­tions les plus remar­quées, Time has fal­len asleep in the after­noon sun­shine œuvre à une forme de biblio­thèque vivante : afin de sau­ver des livres de l’oubli, Mette Edvard­sen les confie à des inter­prètes qui les apprennent par cœur et les délivrent en tête à tête à un seul spectateur.
Sa der­nière créa­tion Pene­lope Sleeps est un opé­ra expé­ri­men­tal met­tant en jeu la forme et l’espace, cosi­gné avec Mat­teo Fargion.

• Retrou­vez Mette Edvard­sen en 2020 à Caen :
  Time has fal­len asleep in the after­noon sun­shine les 16 et 17 mai 2020 dans le cadre de Époque, le salon des livres de Caen, une expé­rience entre l’écriture et l’écoute, l’apprentissage et l’oubli.